Pharmacien, il aurait pu siéger à la commission des Affaires sociales. Élu député du Calvados sous la bannière de La République en marche !, il se serait bien vu membre de la commission des Affaires économiques, la pêche et le monde rural n’ayant aucun secret pour lui. Finalement, Bertrand Bouyx siègera à la commission des Affaires étrangères.
Un choix qui n’est pas sans lien avec l’historique de sa circonscription. Le pharmacien adjoint représente en effet la Côte de Nacre, ourlée par les plages du Débarquement. Il promet d’en défendre la mémoire autant que les enjeux touristiques.
Son élection à l’assemblée nationale est le baptême du feu en politique pour l’adjoint de la pharmacie d’Argouges de Bayeux. À 47 ans, il prend ce nouveau rôle tant à cœur qu’il ne peut envisager de mener de front carrière politique et exercice professionnel.
Mais, promet-il, son retrait – temporaire — du monde officinal ne lui fera pas perdre l’œil attentif qu’il pose sur la société. De son expérience en pharmacie, dans un quartier riche en diversité, il apportera au parlement « une partie de la société civile ». De même, sa capacité « à être disponible, la disponibilité étant une qualité du métier de pharmacien », se perpétueront jusque sur les bancs de l’hémicycle. Un hémicycle où il se sent déjà très à l’aise « parmi un parlement plus diversifié et plus jeune ».
C’est assurément avec la certitude d’avoir fait le bon choix que Bertrand Bouyx regarde aujourd’hui dans le rétroviseur des derniers mois écoulés. Le jeune militant UDI a en effet choisi de tourner le dos à un parti, « pour ses absences de réponses », afin de rejoindre le mouvement d'Emmanuel Macron, en phase avec ses valeurs. « Ce sont des valeurs humanistes et européennes. Je suis pour l’émancipation de l’individu en même temps que pour le rôle régulateur de l’État », lance-t-il.
Ce credo l’a amené à dépasser les murs de l’officine pour la vie publique. Il ne l'a pas encore totalement quitté que, déjà, il est sûr que son métier lui manquera. Lucide, Bertrand Bouyx sait aussi qu’il risque de perdre, pendant les cinq années de son mandat, en compétences et en qualité professionnelle. Aussi ce pratiquant de taekwondo et assidu du cercle philosophique Condorcet déclare-t-il avec sagesse : « une page se tourne ». La suivante n'en promet pas moins d’être tout aussi passionnante.
Un choix qui n’est pas sans lien avec l’historique de sa circonscription. Le pharmacien adjoint représente en effet la Côte de Nacre, ourlée par les plages du Débarquement. Il promet d’en défendre la mémoire autant que les enjeux touristiques.
Son élection à l’assemblée nationale est le baptême du feu en politique pour l’adjoint de la pharmacie d’Argouges de Bayeux. À 47 ans, il prend ce nouveau rôle tant à cœur qu’il ne peut envisager de mener de front carrière politique et exercice professionnel.
Mais, promet-il, son retrait – temporaire — du monde officinal ne lui fera pas perdre l’œil attentif qu’il pose sur la société. De son expérience en pharmacie, dans un quartier riche en diversité, il apportera au parlement « une partie de la société civile ». De même, sa capacité « à être disponible, la disponibilité étant une qualité du métier de pharmacien », se perpétueront jusque sur les bancs de l’hémicycle. Un hémicycle où il se sent déjà très à l’aise « parmi un parlement plus diversifié et plus jeune ».
C’est assurément avec la certitude d’avoir fait le bon choix que Bertrand Bouyx regarde aujourd’hui dans le rétroviseur des derniers mois écoulés. Le jeune militant UDI a en effet choisi de tourner le dos à un parti, « pour ses absences de réponses », afin de rejoindre le mouvement d'Emmanuel Macron, en phase avec ses valeurs. « Ce sont des valeurs humanistes et européennes. Je suis pour l’émancipation de l’individu en même temps que pour le rôle régulateur de l’État », lance-t-il.
Ce credo l’a amené à dépasser les murs de l’officine pour la vie publique. Il ne l'a pas encore totalement quitté que, déjà, il est sûr que son métier lui manquera. Lucide, Bertrand Bouyx sait aussi qu’il risque de perdre, pendant les cinq années de son mandat, en compétences et en qualité professionnelle. Aussi ce pratiquant de taekwondo et assidu du cercle philosophique Condorcet déclare-t-il avec sagesse : « une page se tourne ». La suivante n'en promet pas moins d’être tout aussi passionnante.
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