La prise en charge de la douleur dépend de la situation clinique et de l’intensité de la douleur. En outre, il convient de rappeler que celle-ci ne se limite pas à l’emploi d’antalgiques.
Le choix du traitement antalgique est guidé par l'intensité de la douleur et son caractère aigu ou chronique. Quelle que soit la situation clinique rencontrée, les contre-indications, mises en garde et précautions d’emploi, le terrain, l’âge du patient et les traitements concomitants, devront être pris en compte afin d’anticiper et prévenir les risques d’effets indésirables. Il est recommandé de prévenir certains effets secondaires, comme le risque de constipation lié aux opioïdes, particulièrement en traitement chronique. L’association d’un antalgique périphérique à un opioïde faible (codéine ou tramadol, essentiellement) permet de diminuer la dose et potentiellement le risque d’effet indésirable de l’opioïde.
Dans les douleurs neuropathiques, les antidépresseurs tricycliques et la prégabaline sont recommandés en première intention. La gabapentine est recommandée en première intention dans les douleurs neuropathiques périphériques (comme celles du diabète) et la névralgie postzostérienne. La duloxétine dans les polyneuropathies du diabète et les emplâtres de lidocaïne dans les douleurs postzostériennes. Le choix entre ces traitements dépend du contexte somatique et psychiatrique éventuels, des contre-indications et des traitements concomitants associés. Leur mise en route doit se faire par paliers croissants selon la tolérance et l’efficacité sur la douleur, sauf pour les emplâtres de lidocaïne qui peuvent être utilisés d’emblée à doses maximales. Ils doivent être utilisés d’abord en monothérapie, puis peuvent être secondairement associés, notamment en cas d’efficacité partielle (environ 30 à 50 % de soulagement) et de tolérance acceptable.
Par la suite, la douleur doit être régulièrement réévaluée pour adapter ou arrêter le traitement antalgique lorsque la symptomatologie le permet.
Enfin, on peut envisager de réduire progressivement les doses d’un traitement pour douleurs neuropathiques après 6 à 8 mois d’efficacité à doses stables.
Le choix du traitement antalgique est guidé par l'intensité de la douleur et son caractère aigu ou chronique. Quelle que soit la situation clinique rencontrée, les contre-indications, mises en garde et précautions d’emploi, le terrain, l’âge du patient et les traitements concomitants, devront être pris en compte afin d’anticiper et prévenir les risques d’effets indésirables. Il est recommandé de prévenir certains effets secondaires, comme le risque de constipation lié aux opioïdes, particulièrement en traitement chronique. L’association d’un antalgique périphérique à un opioïde faible (codéine ou tramadol, essentiellement) permet de diminuer la dose et potentiellement le risque d’effet indésirable de l’opioïde.
Dans les douleurs neuropathiques, les antidépresseurs tricycliques et la prégabaline sont recommandés en première intention. La gabapentine est recommandée en première intention dans les douleurs neuropathiques périphériques (comme celles du diabète) et la névralgie postzostérienne. La duloxétine dans les polyneuropathies du diabète et les emplâtres de lidocaïne dans les douleurs postzostériennes. Le choix entre ces traitements dépend du contexte somatique et psychiatrique éventuels, des contre-indications et des traitements concomitants associés. Leur mise en route doit se faire par paliers croissants selon la tolérance et l’efficacité sur la douleur, sauf pour les emplâtres de lidocaïne qui peuvent être utilisés d’emblée à doses maximales. Ils doivent être utilisés d’abord en monothérapie, puis peuvent être secondairement associés, notamment en cas d’efficacité partielle (environ 30 à 50 % de soulagement) et de tolérance acceptable.
Par la suite, la douleur doit être régulièrement réévaluée pour adapter ou arrêter le traitement antalgique lorsque la symptomatologie le permet.
Enfin, on peut envisager de réduire progressivement les doses d’un traitement pour douleurs neuropathiques après 6 à 8 mois d’efficacité à doses stables.
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