James Bond a grillé sa dernière clope en 2002 dans « Die another day ». Pourtant, le héros imaginé par Ian Fleming n'en a pas fini avec le tabagisme. Voilà ce que démontre l'étonnante étude menée par deux spécialistes néo-zélandais en santé publique. Après avoir visionné 24 opus de la saga cinématographique siglée 007, ils estiment que la persistance du tabagisme reste préoccupante pour la santé de l'espion le plus célèbre du monde. James Bond est en effet exposé au tabagisme passif en raison notamment des habitudes de ses nombreuses partenaires sexuelles. La cigarette après l'amour est notamment pointée. Un risque toutefois atténué « par la nature généralement brève de ses relations », notent les auteurs. S'il a officiellement arrêté de fumer, l'agent au service de sa Majesté continue néanmoins de prendre des risques en buvant (Vodka-Martini et Dom Pérignon 1955) et en se jouant des limitations de vitesse au volant de sa mythique Aston Martin. Mais on ne va pas mégoter…
Avec l'AFP.
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