LA VILLE DE SAINT-NAZAIRE compte 26 pharmacies, réparties sur 31 iris dont 2 à très faible population. Le potentiel de chiffre d’affaires médicament de la ville est de 39,9 millions d’euros soit 1,53 million d’euros en moyenne par pharmacie. Rapportée à la population équivalente (Équivalent Français Moyen, tenant compte du profil de la population locale et de son incidence sur le niveau de consommation, soit 66 416) la densité de pharmacies se traduit par une officine pour 2 554 équivalents français moyens. Soit sensiblement 10 % au-dessus de la moyenne nationale.
Niveau de demande et densité officinale par iris.
La carte en dégradé de bleu fait apparaître la disparité du niveau de demande par habitant, de 1 à 5 entre iris extrêmes, l’iris 0108-Jardins des plantes se situant à 50 % au-dessus de la moyenne nationale.
La carte fait également apparaître la très forte concentration des officines dans les quartiers en bordure de l’estuaire. L’analyse de cette concentration fait l’objet du graphique en nuage de points.
Potentiel par iris et poids théorique de la parapharmacie.
La carte en teinte rouge dégradée fournit la localisation de potentiel de chiffre d’affaires par iris.
On voit que 5 iris ont un potentiel proche de 2 millions d’euros voire supérieur.
Pour ce qui est du niveau de demande de parapharmacie, en référence à une moyenne nationale de 17 %, on voit qu’il varie d’un quartier à l’autre dans une proportion de l’ordre de 1 à 5.
On ne peut que rappeler que le niveau national de 17 % se trouve très en deçà du niveau correspondant à la demande potentielle de la population. La taille moyenne des officines en comparaison à celle d’autres pays européens explique pour l’essentiel cette situation.
Densité officinale/potentiel de CA par quartier (iris).
Les 31 iris de Saint-Nazaire, dont 2 de très faible population (moins de 200 habitants), sont représentés sur le graphique en nuage de points, avec visualisation de ce potentiel en équivalent français moyen en abscisse et son effectif d`officines en ordonnée.
Plus la pente joignant le point (iris) à l’origine est élevée, plus est forte la densité officinale face au potentiel. On voit que :
- 12 des 29 iris (hors les 2 plus petits) ne possèdent pas d’officines. L’un d’entre eux (Villes Martin) comportant pourtant une population de l’ordre de 3 300 habitants.
- À l’inverse 2 iris (centre Halles et Hôtel de ville) correspondent à une officine pour 600 à 700 habitants. C’est-à-dire une densité officinale 4 fois plus élevée que la moyenne nationale. Cette concentration classique en zones urbaines denses, bien que s’expliquant en partie par l’importance des flux de passages propres à un centre-ville, excède incontestablement ce que devrait être à l’avenir une couverture optimale de la demande.
- 17 sur 29 iris dont ceux évoqués plus haut comportent une densité officinale proche de la moyenne nationale ou supérieure.
Voici la prochaine ville retenue pour notre page géopharmacie : Nancy. Mais peut-être avez-vous une suggestion à nous faire (autres villes, contenu et forme de la rubrique…). La ou les pharmacies dont la suggestion a été retenue recevront un zoom plus précis de la ville.
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