Pour la plupart des situations rencontrées à l’officine, le pharmacien peut s’appuyer sur les recommandations des sociétés savantes et de la HAS (Haute Autorité de santé). Son choix repose alors sur un consensus scientifique et validé, garantissant un niveau de preuve satisfaisant et un rapport efficacité/effets indésirables acceptable.
Des recommandations sur la constipation, l’acné, la rhinite allergique, la diarrhée ou encore la migraine sont disponibles et permettent de distinguer les traitements de première ou de seconde intention, en fonction des situations. Ces éléments décisionnels, croisés avec les nouvelles données de pharmacovigilance et les AMM des médicaments, contribuent à réaliser un référencement pertinent des spécialités d’automédication et à favoriser un conseil officinal consensuel, déconnecté des éléments commerciaux fournis par les laboratoires.
Le nécessaire consensus scientifique
Publié le 30/11/2015
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3221
A la Une
Gel des prix sur le paracétamol pendant 2 ans : pourquoi, pour qui ?
Salon des maires
Trois axes d’action pour lutter contre les violences à l’officine
Médication familiale
Baisses des prescriptions : le conseil du pharmacien prend le relais
Caisse d’assurance vieillesse des pharmaciens
Retraite des pharmaciens : des réformes douloureuses mais nécessaires