Quelle que soit la maladie, il faut anticiper certaines situations d’ordre administratif. Munissez-vous de votre carnet de vaccinations (ou d’une copie) ; d’ordonnances rédigées si possible en anglais faisant figurer, non pas le nom de la spécialité, mais la dénomination commune internationale (DCI) de la molécule ; de vos derniers examens et éventuellement d’un descriptif de votre maladie. Si vous ne voulez pas avoir d’ennuis avec les douaniers, ayez toujours sur vous un certificat médical justifiant la possession de seringues ou de tout autre matériel d’injection. Emportez également les formulaires requis en cas d’hospitalisation dans les pays de la Communauté européenne (formulaire E111 de la Sécurité sociale). Si vos traitements sont lourds, contractez une assurance couvrant l’hospitalisation à l’étranger et/ou le rapatriement en France, et renseignez-vous sur les adresses des ambassades et des consulats, voire des services d’urgence et des hôpitaux des pays visités.
Les papiers à ne pas oublier
Publié le 27/05/2013
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3010
Marché de l’emploi post-Covid
Métiers de l’officine : anatomie d’une pénurie
Près de 45 fois plus de cas en 2023
Rougeole : l’OMS appelle à intensifier la vaccination en Europe
Pharmacien prescripteur
Après les vaccins, les antibiotiques
Logigramme, formation…
Le dépistage de la cystite en pratique