Alors que le masque n'est plus obligatoire dans les transports en commun depuis le lundi 16 mai, les associations représentant les personnes immunodéprimées s'inquiètent des conséquences pour les patients les plus vulnérables. Si le masque reste requis au sein des établissements de santé et médico-sociaux ainsi que recommandé en présence de personnes fragiles et pour les cas positifs, les associations appellent les professionnels de santé à « mettre en œuvre les recommandations nationales afin d’assurer la protection des personnes sévèrement immunodéprimées », et à utiliser tous les outils à leur disposition pour les protéger. Pour rappel, les immunodéprimés (230 000 personnes en France) représentent environ 40 % des personnes hospitalisées en réanimation pour cause de Covid-19.
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