Après une année 2020 tout juste stable et très hétérogène selon les typologies de pharmacies, le début de 2021 n’augure rien de bon. La tendance est à la baisse sur presque tous les marchés, le trafic dans les pharmacies recule fortement, alors que le couvre-feu est avancé à 18 heures depuis le 16 janvier, les grosses officines et celles situées dans les centres commerciaux payent le plus lourd tribut. Malgré tout, et contrairement à nombre d’autres secteurs, le réseau tire globalement son épingle du jeu, en grande partie grâce à son engagement sans faille dans la lutte contre le Covid-19. Ce que l’assurance-maladie confirmera quelques mois plus tard, en affichant l’investissement des confrères dans le dépistage et la vaccination. Côté vaccination justement, la recherche se poursuit, non seulement sur de nouveaux candidats vaccins mais aussi sur la meilleure combinaison possible, que ce soit en termes d’écart et de nombre de doses, de vaccination hétérologue, de profil des patients, alors que les variants éveillent les pires craintes.
Février
L’économie officinale « covidée »
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Publié le 04/01/2022
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Source : Le Quotidien du Pharmacien