Dans un article intitulé « La transplantation rénale en sursis ? », l’édition du mois de juin de « La lettre de l’Académie nationale de médecine » entrevoit la direction à suivre pour la prise en charge thérapeutique d’avenir des patients insuffisants rénaux : « Rechercher et mettre en œuvre des mécanismes de tolérance spécifique aux allogreffes et développer l’organogenèse in vivo et in vitro grâce aux cellules souches. Une feuille de route exaltante, qui sonnera le glas de la courte histoire médicale de la médecine de remplacement qu’aura été la transplantation, vaincue par la médecine régénérative grâce aux cellules souches et mieux, par la prévention des maladies rénales. »
En attendant les cellules souches
Publié le 30/06/2011
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2849