Dix nouvelles expérimentations dans l'accès aux études de santé vont voir le jour aux rentrées 2017 et 2018. Elles auront lieu dans les universités d'Aix-Marseille, Angers, Brest, Caen, Grenoble, Lyon 1, Reims, Rennes 1, Tours et l'université Paris-Est-Créteil.
Dix universités, sur les douze qui s'étaient portées candidates en janvier 2017, ont été retenues par le ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche pour proposer à leurs étudiants de nouvelles alternatives à la PACES (Première année commune aux études de santé), selon un article de « l’étudiant.fr ». Les expérimentations d'Aix-Marseille, Angers, Grenoble, Lyon 1, Reims, Rennes 1 et Tours démarreront à la rentrée 2017 (sachant que les universités d'Angers et Tours sont déjà engagées dans des expérimentations, mais vont démarrer de nouveaux projets). Les universités de Brest, Caen et l'université Paris-Est-Créteil (UPEC) lanceront les expérimentations en septembre 2018. En revanche, les initiatives portées par Paris 13 et La Réunion ont été retoquées.
Ces 10 nouveaux projets s’ajoutent à ceux déjà en cours dans 18 universités, depuis que la loi sur l'enseignement supérieur et la recherche de 2013 a autorisé les expérimentations dans l'accès aux études de santé. Ainsi, le dispositif AlterPaces, qui permet à des étudiants de L2 ou L3 d'accéder aux études de santé via une voie d'admission parallèle, est déjà proposé à Clermont-Ferrand, Paris 5, Paris 7, Paris 13, Poitiers, Rouen, Saint-Étienne, Strasbourg et Tours.
Autre possibilité : le cursus PluriPass, qui est un parcours pluridisciplinaire, est expérimenté à l'université d'Angers. Cette dernière initiative sera également lancée à Brest en 2018, qui proposera alors les 3 options : PACES, Pluripass et Alterpaces.
Dispensation du médicament
Tramadol et codéine sur ordonnance sécurisée : mesure reportée !
Formation continue
Transmission automatique des actions de DPC : les démarches à faire avant le 30 novembre
Relocalisation industrielle
Gel des prix sur le paracétamol pendant 2 ans : pourquoi, pour qui ?
Salon des maires
Trois axes d’action pour lutter contre les violences à l’officine