Si elle se félicite de l’adoption de mesures visant notamment à lutter contre la toxicomanie, telles les salles de consommation à moindre risque, ou encore de la suppression du délai de sept jours imposé aux femmes qui souhaitent bénéficier d’une interruption volontaire de grossesse, la députée du Lot (PRG) Dominique Orliac, déplore que certains de ces amendements renforçant la place du pharmacien dans le système de soins soient restés lettre morte. « Nous regrettons le refus du gouvernement d’aborder le sujet de la médication officinale de premier recours dans le parcours de soins alors que d’autres pays européens l’ont fait depuis longtemps », a-t-elle expliqué au moment du vote au nom du groupe des radicaux de gauche de l’Assemblée nationale (groupe 2RDP).
Les regrets de la députée Orliac
Publié le 20/04/2015
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3172
Dispensation du médicament
Tramadol et codéine sur ordonnance sécurisée : mesure reportée !
Formation continue
Transmission automatique des actions de DPC : les démarches à faire avant le 30 novembre
Relocalisation industrielle
Gel des prix sur le paracétamol pendant 2 ans : pourquoi, pour qui ?
Salon des maires
Trois axes d’action pour lutter contre les violences à l’officine