La maladie est encore taboue. À la honte s’ajoute l’angoisse : la peur de transmettre le virus inquiète. Il faut expliquer l’épidémiologie, l’enjeu de cette infection, apaiser et rassurer. Les patientes souffrant de cette infection font rarement le premier pas : pas de plainte ni de demande de conseils, même auprès du pharmacien. « De son côté, celui-ci se sent gêné pour aborder le sujet, néanmoins il peut parvenir à briser le mur du silence en faisant passer le message de la douleur grâce à Clareva, remarque le Dr Pauline Levêque, pharmacien. Il peut aussi évoquer le sujet lors de la demande d’un médicament conseil pour soigner une mycose ; grâce à un questionnement délicat sur les symptômes ressentis, il peut orienter vers une consultation médicale. » En effet, certaines patientes se trompent de diagnostic : une supposée mycose qui fait mal, qui brûle et génère des vésicules doit faire évoquer la possibilité d’un herpès.
Le dialogue à l’officine
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Publié le 16/06/2014
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Pour en savoir plus : www.clarevagel.fr.
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Source : Le quotidien du pharmacien: 3101
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