Il nous faut malheureusement encore vaincre les idées fausses liées au traitement des douleurs cancéreuses.
Fatalisme (caractère inéluctable de la douleur), crainte de l’addiction et/ou des effets indésirables des médicaments, confusion entre prise en charge de la douleur et gravité de la maladie ou entre opioïdes forts et médicaments réservés à la fin de vie, autant de croyances limitant parfois l’accès du patient à une prise en charge correcte de sa douleur.
Il nous faut aider le patient et/ou son entourage à mieux comprendre la prescription d’opioïdes forts et cerner les attitudes qui viendraient à l’encontre d’une bonne observance de la prescription. Le traitement de la douleur ne peut être efficace que si le patient a reçu des informations claires sur le besoin de recourir à des opioïdes forts et sur les objectifs thérapeutiques et d’amélioration de la qualité de vie.
Une réévaluation de la balance bénéfice/effets indésirables doit être pratiquée régulièrement. Comme pour toute douleur chronique, la douleur en cancérologie doit être soigneusement identifiée et faire l’objet d’une prise en charge globale et personnalisée.
Le point de vue de l’UTIP
Par
Publié le 04/04/2016
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3254
Pharmaco pratique
Accompagner la patiente souffrant d’endométriose
3 questions à…
Françoise Amouroux
Cas de comptoir
Les allergies aux pollens
Pharmaco pratique
Les traitements de la sclérose en plaques