En attendant que la suspension des AMM de Diane 35 et de ses génériques soit effective, c’est-à-dire dans trois mois, l’ANSM demande aux pharmaciens de « délivrer les traitements minimaux nécessaires pour éviter toute rupture brutale de traitement jusqu’à ce que la patiente consulte à nouveau son médecin ou un autre prescripteur (délivrance de boîtes de 1 mois de traitement préférentiellement) ». L’agence ne préconise pas en effet un arrêt brutal du traitement et en recommande la poursuite jusqu’à une prochaine consultation. Quant aux médecins, les instructions sont claires, ils « ne doivent plus prescrire ces médicaments, ni en initiation de traitement, ni en renouvellement ».
Le retrait au comptoir
Publié le 04/02/2013
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2979
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