LE DICLOFÉNAC représente 73 % des ventes sur le marché des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) où la voie locale est largement majoritaire (78 % du marché) avec la présentation du gel en tube dosé à 1 % de diclofénac. Dans ce contexte, l’arrivée de la nouvelle présentation Tevalgiespray, qui possède une double exclusivité liée à sa forme galénique en solution pour pulvérisation cutanée, d’une part, et à sa concentration à 4 % de diclofénac, la plus forte sur le marché, d’autre part, devrait logiquement créer l’événement. La structure lipidique micellaire renfermant l’actif favorise en effet sa pénétration cutanée et sa libération in situ. Ainsi, les micelles interagissent avec les lipides des couches superficielles de l’épiderme, réduisent son effet barrière et pénètrent dans les couches profondes de l’hypoderme pour atteindre la zone lésée. Ce mode d’action explique que les massages ne sont pas nécessaires, précise le fabricant. Il suffit d’étaler le produit après pulvérisation.
Pratique et facile à conseiller.
Chaque pulvérisation délivre une quantité précise d’actif et il n’y a pas de risque de surdosage, d’où une grande sécurité d’utilisation. Pour le pharmacien, Tevalgiespray représente un produit de premier soin pratique, efficace et facile à conseiller pour soulager la douleur d’intensité légère à modérée et l’inflammation consécutives à un traumatisme aigu, sans lésion associée, des petites et moyennes articulations et des structures périarticulaires. La dose habituelle est de quatre à cinq pulvérisations appliquées trois fois par jour. Le traitement ne doit pas être prolongé plus de sept à huit jours sans avis médical, et sans amélioration au bout de trois jours de traitement le patient doit consulter.
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Françoise Amouroux
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