Le syndrome génito-urinaire est responsable de l'apparition de symptômes qui affectent la qualité de vie, comme la sécheresse vaginale ou la dyspareunie (douleur ressentie lors des rapports sexuels). Ces symptômes vaginaux peuvent survenir à n'importe quel âge et moment de la vie d'une femme, suite à des changements hormonaux, physiologiques ou non. Les principales situations non infectieuses sont une grossesse, les suites d'une épisiotomie, l'allaitement, une chirurgie gynécologique, une radiothérapie ou une chimiothérapie, mais aussi une contraception estroprogestative faiblement dosée.
Le Dr Sylvain Mimoun, gynécologue insiste sur le fait que « 30 à 55 % des femmes, avec ou sans THS (traitement hormonal substitutif), sont concernées par la sécheresse vaginale en post-ménopause. Elles n'en prennent pas toujours conscience car les conséquences locales ne sont pas toujours apparentes, elles sont plus gênées par les troubles climatériques. Il est pourtant fondamental de préserver la santé génito-urinaire sans attendre que les symptômes apparaissent à la ménopause, insiste le spécialiste. Pour cela, il faut généraliser les bonnes habitudes d'hygiène et de soins de façon préventive, et encourager les femmes à les intégrer dans leur routine de toilette quotidienne, dès les premières règles. »
Les solutions non hormonales disponibles actuellement sont des hydratants en traitement de fond ou des lubrifiants qui soulagent ponctuellement. Le dispositif médical Palomacare est une solution thérapeutique à base d'ingrédients d'origine naturelle qui apporte une action complète.
Sa formule innovante et brevetée repose sur les technologies niosomale et phytosomale qui facilitent la pénétration des actifs dans les couches les plus profondes de la muqueuse vaginale. Les niosomes d'acide hyaluronique et de bêta-glucane ont une action hydratante et anti-inflammatoire. Les phytosomes de centella asiatica exercent une action réparatrice et régénératrice. Le prébiotique BioEcolia stimule et rééquilibre le microbiote vaginal. L'aloe vera est antiseptique et le champignon japonais coriolus versicolor a un effet réépithélisant sur les lésions cervico-vaginales.
Le gel Palomacare a démontré son efficacité dans une étude clinique pilote : il augmente de 43 % la réépithélisation de la muqueuse du col de l'utérus par rapport à l'état d'inclusion, après douze jours de traitement. On note également une amélioration du microbiote et de la santé vaginale globale (+17 % vs inclusion). L'utilisation du gel est complétée par la mousse Sensitive pour l'hygiène vulvovaginale.
D'après une conférence de presse de Procare Health.
Le Dr Sylvain Mimoun, gynécologue insiste sur le fait que « 30 à 55 % des femmes, avec ou sans THS (traitement hormonal substitutif), sont concernées par la sécheresse vaginale en post-ménopause. Elles n'en prennent pas toujours conscience car les conséquences locales ne sont pas toujours apparentes, elles sont plus gênées par les troubles climatériques. Il est pourtant fondamental de préserver la santé génito-urinaire sans attendre que les symptômes apparaissent à la ménopause, insiste le spécialiste. Pour cela, il faut généraliser les bonnes habitudes d'hygiène et de soins de façon préventive, et encourager les femmes à les intégrer dans leur routine de toilette quotidienne, dès les premières règles. »
Technologies niosomale et phytosomale
Les solutions non hormonales disponibles actuellement sont des hydratants en traitement de fond ou des lubrifiants qui soulagent ponctuellement. Le dispositif médical Palomacare est une solution thérapeutique à base d'ingrédients d'origine naturelle qui apporte une action complète.
Sa formule innovante et brevetée repose sur les technologies niosomale et phytosomale qui facilitent la pénétration des actifs dans les couches les plus profondes de la muqueuse vaginale. Les niosomes d'acide hyaluronique et de bêta-glucane ont une action hydratante et anti-inflammatoire. Les phytosomes de centella asiatica exercent une action réparatrice et régénératrice. Le prébiotique BioEcolia stimule et rééquilibre le microbiote vaginal. L'aloe vera est antiseptique et le champignon japonais coriolus versicolor a un effet réépithélisant sur les lésions cervico-vaginales.
Le gel Palomacare a démontré son efficacité dans une étude clinique pilote : il augmente de 43 % la réépithélisation de la muqueuse du col de l'utérus par rapport à l'état d'inclusion, après douze jours de traitement. On note également une amélioration du microbiote et de la santé vaginale globale (+17 % vs inclusion). L'utilisation du gel est complétée par la mousse Sensitive pour l'hygiène vulvovaginale.
D'après une conférence de presse de Procare Health.
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