Loin d’être anecdotique, la maladie veineuse est fréquente en France puisqu’elle touche 20 millions de personnes des deux sexes, même si la population féminine est plus facilement concernée. Les nombreux symptômes qui la caractérisent – jambes lourdes et/ou douloureuses, impatiences, fourmillements – n’encouragent pas une consultation rapide et seulement 30 % des patients sont traités dans un délai moyen de 7 ans entre les premières manifestations de la maladie et la mise en place d’un traitement.
Pourtant, la maladie veineuse est potentiellement grave puisqu’elle est responsable chaque année de 600 000 cas d’ulcères veineux, 100 000 cas de phlébites, et que 10 000 décès pour embolie pulmonaire lui incombent. Améliorer la prise en charge de la pathologie est donc un enjeu important pour les Laboratoires Servier qui proposent aux pharmaciens un programme de formation sur le sujet et mettent à disposition des patients un site dédié aux deux maladies, veineuse et hémorroïdaire (www.daflon.fr).
Une maladie potentiellement grave
Publié le 05/11/2015
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3214
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