Double première pour une équipe néerlandaise, celle de Lisette Stolk et coll. (Rotterdam). En utilisant pour la première fois une étude d’association sur l’ensemble du génome dans l’analyse des variants génétiques liés à l’âge de la ménopause, elle a pu révéler 20 SNP (variation d’un seul nucléotide) impliqués. Ils se situent sur les chromosomes 19 et 20. Tous les chercheurs se doutaient de l’existence d’une composante génétique. Cette confirmation est venue de l’étude de plus de 10 000 femmes ménopausées enrôlées dans 9 pays européens. Les auteurs précisent qu’il ne s’agit que d’une orientation vers les gènes impliqués, sans preuves de leur responsabilité. Ils ajoutent qu’il se passera de nombreuses années avant qu’un génotypage ne soit réalisé en cas de ménopause précoce. Même dans ce cas, rien ne prouve que ces femmes pourront bénéficier d’une aide pour traiter leur problème de fertilité. Pour Lisette Stolk, en effet, l’un des intérêts de son travail est lié au recul de l’âge des grossesses en Occident.
Âge de la ménopause
Vingt variants génétiques en cause
Publié le 18/07/2009
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Congrès de la Société européenne de génétique humaine (Vienne, Autriche).
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2669
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