« Les inventaires tournants sont indispensables »

Publié le 27/06/2013
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Olivier Delmotte, titulaire de la pharmacie des Augustins à Mulhouse, explique pourquoi il lui faut faire des inventaires réguliers et son choix pour la solution proposée par Aircode Software.

« Beaucoup d’erreurs de stocks »

« Ma pharmacie se trouve dans une grande surface, ce qui conduit à un exercice un peu particulier du métier. La moitié de mon chiffre d’affaires est réalisé hors ordonnance, nous avons beaucoup de stocks et de flux, les erreurs, la démarque inconnue sont courantes, il est impossible de gérer cela une fois par an. D’où la nécessité de faire des inventaires tournants. Par ailleurs, ces inventaires faits régulièrement permettent de faire un travail de merchandising plus fin, et aussi de mieux travailler avec les commerciaux des marques qui viennent nous voir et qui comprennent la ainsi la nécessité d’un meilleur service sur le point de vente. Si l’on n’y prend pas garde, on peut facilement avoir 10 % d’erreurs de stocks, d’où la nécessité d’avoir des stocks à jour par le biais des inventaires tournants. Ceux-ci servent aussi à éviter des ruptures dans les rayons, notamment pour les produits à faible rotation. »

« Un terminal rapide »

« J’ai l’habitude de négocier, je suis acheteur pour un groupement, et je connais les nouvelles technologies. J’ai choisi Aircode software, d’abord parce que le terminal proposé, Motorola, me convient. Il lit tous les codes, y compris Datamatrix or aujourd’hui, les terminaux proposés sont loin de pouvoir les lire. Il est par ailleurs très rapide lors du flashage des codes et affiche le libellé avec vérification instantanée de la saisie qui vient d’être effectué, il n’est pas nécessaire de le regarder. Par ailleurs, travailler avec un éditeur indépendant permet de m’affranchir des éditeurs de LGO, et ses prix sont mieux placés. En revanche, pour l’inventaire de fin d’exercice comptable, je fais appel à un inventoriste, c’est un travail trop lourd qui mobilise jusqu’à six personnes sur une journée. »


Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3019