Test Covid, TROD-angine, vaccination élargie, téléconsultation. Les missions du pharmacien évoluent. Et ces nouvelles prérogatives passent aussi à travers le prisme de la digitalisation. En premier lieu, pour assurer un service plus efficace à la patientèle. C’est notamment l’argument avancé pour justifier la téléconsultation, autant du côté des fabricants que des pouvoirs publics. Ces solutions digitales sont présentées par ces derniers et les opérateurs (Medeo, Cegedim, BewellConnect, Doctegestion, ou encore Medadom), comme des alternatives viables pour compenser le manque de médecins à l’échelle nationale. Dans leurs versions des plus basiques, elles requièrent juste un ordinateur ou une tablette équipée d’une webcam et un abonnement. Il peut s’agir aussi de bornes et cabines dédiées et équipées d’outils de mesure utiles à la bonne tenue des consultations. Elles mettent directement en relation un patient et un médecin partenaire pour une consultation.
C’est aussi la refonte globale des LGO qui, pour être référencés Ségur courant 2023, doivent apporter une réponse dans l’accompagnement de ces nouvelles missions. C’est pourquoi ces logiciels doivent fournir des prestations de service centrées sur les patients, afin de mieux connaître leur profil et les suivre dans leur parcours de soins. Ce sont aussi des outils annexes, déployés par les développeurs dans leur LGO. Par exemple, un système de gestion des tests Covid chez Winpharma.
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