L’éclairage a longtemps été le point noir en pharmacie ; d’abord mal éclairées, celles-ci ont dans un second temps été suréclairées. « Dans ce domaine, on a mis un certain temps à trouver un compromis entre un éclairage équilibré et un merchandising efficace », explique Jean-Pierre Demeyere (JCDA). La notion d’éclairage et le métier d’éclairagiste ont bénéficié des progrès énormes apportés dans le domaine de la lumière artificielle. Les LED (diodes électroluminescentes) ont révolutionné le marché de la lampe ; elles permettent des économies d’énergie et ont l’avantage de ne pas dégager de chaleur. « La provenance des LED est véritablement importante, les LED européennes restant de meilleure qualité », prévient Alain Viaud (CAP Agencement). « Ce n’est pas facile d’y voir clair en terme de qualité, de performance et de fiabilité », ironise le directeur de JCDA.
Aujourd’hui, les éclairagistes accompagnent les agenceurs pour calculer et optimiser les besoins de chaque officine. Des programmateurs sont installés pour limiter le gaspillage d’énergie. Les agenceurs ne négligent pas non plus la lumière naturelle. Pour Bernard Deniel (Média6 Pharmacie), il est indispensable de « maximiser l’apport de lumière extérieure grâce à des vitrines plus larges et surtout moins encombrées ».
Près de 40 % du chiffre d’affaires
Médicaments chers : poids lourds de l’activité officinale
Les concentrations continuent
Hygie 31, Giropharm : grandes manœuvres au sein des groupements
Valorisation et transactions en 2023
La pharmacie, le commerce le plus dynamique de France
Gestion de l’officine
Télédéclarez votre chiffre d’affaires avant le 30 juin