« Rien que du positif ! », déclare Charles Elcabache en considérant son activité d’audioprothésiste. Il faut dire qu’à peine son officine installée, le pharmacien se lançait dans l’adaptation auditive. Et, à l’aube de la retraite, son enthousiasme n’a pas fléchi : « Le métier s’apparente à de la médecine spécialisée : un peu de clinique, un peu de technique et un fort relationnel avec les patients qui ne fait que s’accentuer avec le temps. C’est un vrai plaisir renforcé par le fait d’être le décideur ». Des études accessibles, une rentabilité correcte, pas d’ombres au tableau. Seule contrainte, l’engagement que requiert l’activité, presque un plein-temps pour Charles Elcabache qui rend hommage à deux pionniers de l’audioprothèse en France, les pharmaciens Joany Vayssette et Jacques Dehaussy.
Une expérience réussie
Publié le 28/02/2011
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2815
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