« Si vous avez la vocation de devenir pharmacien, allez jusqu'au bout ; ne vous laissez pas décourager par les discours négatifs que vous entendez sur la profession. Suivez votre idée, vos instincts et donnez vous les moyens d'y arriver ». Fraîchement diplômée de la faculté de Nantes, Julie L'Haridon ne manque pas de cran pour s'adresser à ceux qui ont choisi de suivre la même voie qu'elle. Ni de clairvoyance d'ailleurs, comme le démontre sa thèse intitulée « Pharmacien d'officine, un métier d'avenir ! ». Pour ce travail, elle a reçu le Grand prix de thèse Officine 2016 de l'ANEPF-Le Pharmacien de France, et c'est mérité.
Julie aime sa profession, et sa profession le lui rend bien. « Aujourd'hui, je passe mon temps à dire que je fais le plus beau métier du monde. Quand j'arrive le matin, c'est avec le sourire ; et le soir, je suis heureuse et satisfaite d'avoir pu aider les gens, à mon niveau ». Alors qu'elle hésitait avec des études de vétérinaire, Julie a eu le nez fin de choisir la pharmacie et de n'en faire qu'à sa tête : « J'ai toujours voulu exercer un métier dans le domaine de la santé. Mais la vue du sang, très peu pour moi. Quand j'ai choisi la filière pharmacie, en terminale (S), cela n'a pas fait l'unanimité auprès de mes professeurs ; mes notes n'étaient pas extraordinaires ». C'était sans compter sur la persévérance de cette Quimpéroise : « c'était mon choix, ce que je voulais faire, et je voulais me donner les moyens d'y arriver ».
Le premier échec au concours d'entrée n'a pas entaché sa volonté : « au cours de ma seconde P1, je me suis clairement demandé ce que je ferais si j'échouais à nouveau. Les conseillers d'orientation m'ont présenté des alternatives mais rien ne me plaisait autant que la pharmacie. J'étais condamnée à réussir ». Cette vocation précoce ne l'a plus lâchée. « J'ai souvent imaginé le jour où je prêterai serment, où je prononcerai ces mots si puissants comme l'honneur, la probité et le désintéressement, où j'accepterai de porter cet héritage commun à tous les pharmaciens ». Ce jour est arrivé le 9 mai 2016, et le docteur en pharmacie l'Haridon est née.
Julie aime sa profession, et sa profession le lui rend bien. « Aujourd'hui, je passe mon temps à dire que je fais le plus beau métier du monde. Quand j'arrive le matin, c'est avec le sourire ; et le soir, je suis heureuse et satisfaite d'avoir pu aider les gens, à mon niveau ». Alors qu'elle hésitait avec des études de vétérinaire, Julie a eu le nez fin de choisir la pharmacie et de n'en faire qu'à sa tête : « J'ai toujours voulu exercer un métier dans le domaine de la santé. Mais la vue du sang, très peu pour moi. Quand j'ai choisi la filière pharmacie, en terminale (S), cela n'a pas fait l'unanimité auprès de mes professeurs ; mes notes n'étaient pas extraordinaires ». C'était sans compter sur la persévérance de cette Quimpéroise : « c'était mon choix, ce que je voulais faire, et je voulais me donner les moyens d'y arriver ».
Le premier échec au concours d'entrée n'a pas entaché sa volonté : « au cours de ma seconde P1, je me suis clairement demandé ce que je ferais si j'échouais à nouveau. Les conseillers d'orientation m'ont présenté des alternatives mais rien ne me plaisait autant que la pharmacie. J'étais condamnée à réussir ». Cette vocation précoce ne l'a plus lâchée. « J'ai souvent imaginé le jour où je prêterai serment, où je prononcerai ces mots si puissants comme l'honneur, la probité et le désintéressement, où j'accepterai de porter cet héritage commun à tous les pharmaciens ». Ce jour est arrivé le 9 mai 2016, et le docteur en pharmacie l'Haridon est née.
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