Contre-indications absolues, en dehors de la grossesse et de l’allaitement.
Il est fréquent que certains produits, surtout antiparasitaires externes, soient contre-indiqués chez les très jeunes animaux ; il est donc essentiel de toujours vérifier l’âge limite d’emploi.
Effets indésirables.
D’une manière générale, attention au risque de surdosage. Les organophosphorés anticholinestérasiques exposent à des accidents de neurotoxicité lors de surdosage : signes muscariniques, nicotiniques et centraux. Il en est de même des carbamates anticholinestérasiques.
Les pyréthrines naturelles et les pyréthrinoïdes de synthèse présentent une faible toxicité globale mais des accidents de neurotoxicité (tremblements, léthargie, hyperesthésie, hypersalivation, ataxie, convulsions) sont néanmoins possibles.
Certains antiparasitaires locaux peuvent parfois être à l’origine de réactions cutanées transitoires au site d’application : desquamation, décoloration de la peau, perte de poils, démangeaisons, rougeur. Ils peuvent également provoquer une irritation des muqueuses, de la peau et des yeux chez l’utilisateur. Certains produits peuvent induire des vomissements, comme par exemple le nitroscanate, des vomissements et des diarrhées, comme le niclosamide, ou encore une baisse de l’appétit.
La pipérazine peut induire, rarement, des vomissements, une diarrhée et une ataxie (troubles de la coordination des mouvements) passagère.
Interactions médicamenteuses
Il existe un antagonisme pharmacologique entre la pipérazine et le pyrantel.
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Mécanismes d’action
Dans quelles situations cliniques ?
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Pharmaco pratique
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3 questions à…
Françoise Amouroux
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