TOUJOURS présente dans la mémoire collective, Onagrine véhicule quatre valeurs essentielles, naturalité, performance, beauté et proximité, qui ont fait sa success story dans les années 1980. L’onagre est une plante encore mal connue. Pour la remettre au goût du jour, l’aventure botanique s’est transformée en une aventure humaine et scientifique. Tous les produits qui composent la nouvelle gamme sont naturels et s’inscrivent dans un programme de développement durable, respectueux de la peau et de l’environnement. « Le couple eau-lipides constitue la source de vie des êtres vivants et, malgré leur antinomie, les deux molécules constituent une symbiose, explique le Pr Yvon Gall, dermatologue. Nous avons recherché un concept scientifique capable de rétablir et/ou de maintenir l’équilibre entre ces deux supports, en sachant qu’il existe un mimétisme entre les plantes et la peau. » L’eau est présente uniquement dans le derme et diffuse dans l’épiderme où elle est retenue par la barrière cutanée qui règle la perte insensible en eau (PIE). Les lipides épidermiques sont amphiphiles avec une partie hydrophobe et une partie hydrophile, et ils cloisonnent les structures cutanées en assurant des joints d’étanchéité. Le modèle de la peau est représenté par un mur de brique formé de cornéocytes empilés et d’un ciment assuré par des lipides multicouches à longue chaîne. « Si l’on étudie le comportement des plantes de l’extrême, on observe qu’elles ont su gérer leurs besoins en eau en développant des systèmes de stockage et en contrôlant les échanges au niveau des feuilles et des racines », remarque le dermatologue. Selon l’aridité, la cuticule composée de lipides de haut poids moléculaire forme un dépôt cireux plus ou moins épais à la surface des feuilles pour éviter le desséchement. Les stomates (pores) sont des cellules de garde qui s’ouvrent et se ferment à volonté pour réguler les échanges d’eau et de gaz, et dans les zones arides ils sont situés à la partie inférieure de la feuille. Il y a donc similitude entre les plantes et la peau dans la façon de sélectionner des structures périphériques protectrices et de développer des systèmes de stockage en eau adaptés.
Des actifs en parfaite affinité avec la peau.
L’approche scientifique d’Onagrine consiste à restaurer la structure de la peau avant de la traiter pour bénéficier d’une bonne biodisponibilité des actifs. « Nous avons voulu créer un concept nouveau et fort en mettant les lipides essentiels de l’onagre au service de la peau (acides linoléique et gammalinolénique), dont l’action est complétée par les céramides d’onagre, et en sélectionnant des actifs des végétaux de l’extrême comme les matrikines, aquaporines, protéines antistress, antioxydants et flavonoïdes, résume Élodie Annette, directrice marketing Onagrine. L’actif Commiphora makul active la maturité des adipocytes et la lipogenèse, ce qui nous a conduits, pour les peaux matures, à mettre au point le complexe breveté Onaphyline en association avec l’huile et les céramides d’onagre. » Ce complexe régénère le derme et comble les rides en profondeur.
La nouvelle gamme Onagrine se compose de neuf produits regroupés autour de trois axes : l’hydratation, la prévention anti-âge pour peaux jeunes, et les antirides régénérants pour les seniors. Accessible à toutes les femmes, Onagrine se positionne comme une marque dermatologique experte anti-âge visage, et comme une marque conseil en pharmacie.
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