« Pensez-vous que l’apparition des centrales d’achats pharmaceutiques et des structures de regroupements à l’achat vont être un facteur de développement du libre accès et auquel cas pouvez-vous m’expliquer comment ? », a interrogé Pascal Louis, président du Collectif des groupements, s’adressant à Danielle Golinelli, de la Direction générale de la santé. Prévu pour tomber en même temps que l’autorisation du libre accès en officine, le décret sur les centrales d’achat est arrivé sur le devant de la scène avec retard mais reste décrié par nombre de confrères. « Il fait partie des mesures d’accompagnement du volet économique de la réforme, c’est-à-dire l’impact en matière de prix et donc sur l’économie de l’officine, explique l’adjointe à la sous-commission de la politique des pratiques et des produits de santé. Il répond à une certaine demande venant d’officines et de groupements, il leur permet de créer une nouvelle catégorie d’établissements pharmaceutiques pour grouper l’approvisionnement en médicaments non remboursés et obtenir des conditions d’achat plus avantageuses. Les structures juridiques existantes des grossistes-répartiteurs ou des dépositaires ne répondaient pas à ce besoin. Il est trop tôt pour juger de l’impact de ce décret, de l’usage qu’en font ceux auxquels il est destiné et du développement de ces centrales d’achat par rapport aux autres catégories de distribution et de modalités de groupements d’officinaux. »
Les centrales d’achats en question
Publié le 26/10/2009
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2697
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