La déclaration de 49 cas d’effets indésirables consécutifs à la consommation de spiruline a incité l’Agence nationale de sécurité sanitaire, alimentation, environnement et travail (ANSES) à pousser l’analyse des compléments alimentaires en contenant. Dans un avis publié le 30 novembre, elle fait état de certaines contaminations par des cyanotoxines (microcystines notamment) et des bactéries ou encore de traces d’éléments métalliques (plomb, mercure, arsenic). L’ANSES, qui estime que ces contaminants ne peuvent pas être formellement associés aux effets indésirables notifiés, recommande néanmoins de privilégier des circuits d’approvisionnement conformes à la réglementation française. Elle conseille également d'effectuer des études cliniques afin de fixer une dose journalière maximale.
Compléments alimentaires
Précautions pour la spiruline
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Publié le 04/12/2017
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3394
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